Los rebeldes tuareg entran en la ciudad maliense de Gao

 

Miles de malienses muestran su apoyo a los líderes del golpe de estado en Bamako, Mali. EFE/Archivo
 






Bamako, 31 mar (EFE).- Los rebeldes tuareg de Mali, que se levantaron en armas el pasado enero para pedir la independencia del norte del país, han empezado a entrar en la ciudad de Gao, la capital, sin apenas encontrar focos de resistencia, aseguraron a Efe fuentes rebeldes y un funcionario provincial.
En Gao se encuentra el principal cuartel de la región.
Anoche, el Movimiento Nacional para la Liberación de Azawad (MNLA), lanzó una ofensiva contra tres ciudades de la provincia de Gao, entre ellas la capital, pocas horas después de haberse hecho con el control de la ciudad de Kidal, centro administrativo de la región del mismo nombre y situada al norte.
Esta nueva ofensiva coincide con la celebración en Bamako de una multitudinaria concentración convocada por la asociación de líderes religiosos de Mali, en la que se han concentrado miles de personas de diferentes confesiones para pedir el fin de la violencia.
En el estadio de Modibo Keita, en la capital de Mali, Mohamud Dicko, miembro del alto Consejo Islámico de Mali, ha instado a "restablecer el diálogo entre los hijos de Mali".
Dicko instó a la Junta Militar golpista, que el pasado día 21 derrocó al presidente Amadu Tumani Turé, a restablecer el diálogo con la Comunidad Económica de los Estados de África Occidental (CEDEAO), que expulsó a Mali de su seno y que hace dos días dio un ultimátum para restablecer el anterior poder.
En caso de que los golpistas no cumplan con esa exigencia, el bloque amenazó con aplicar un embargo diplomático y económico, así como con el cierre de fronteras de los países integrantes de la CEDEAO.
En este sentido, hoy ha llegado a Burkina Faso un representante del presidente de la junta militar, Amadú Haye Sanogo, para reunirse con el presidente de Burkina Faso, Blaise Compaoré, y mediador en la crisis.
Los países de la CEDEAO se reunieron el pasado jueves en Abiyán (Burkina Faso), después de un intento fallido de encontrarse con el líder golpista maliense en Bamako, debido a que simpatizantes de la asonada militar bloquearon el aeropuerto para impedir el aterrizaje de los aviones en los que viajaban las delegaciones.
Tras la caída ayer de la ciudad maliense de Kidal (noreste) en manos de los tuareg, Sanogo calificó la situación en el norte del país de preocupante y pidió a los países de la CEDEAO que se implicaran en la solución del conflicto tuareg.
El levantamiento armado tuareg, que estalló el 17 de enero ha causado numerosas víctimas mortales, más de 200.000 desplazados y refugiados, y fue el detonante de una crisis en el seno de las Fuerzas Armadas que desembocó en el golpe de Estado del 21 de marzo.


COPIADO : http://www.efe.com/

Syrie: Damas dit avoir vaincu la révolte, les combats font rage

 
03/31 | 10:48 GMT
Captures d'écrans d'une vidéo diffusée sur YouTube le 30 mars 2012, montrant les troupes du régime de Damas entrer dans Homs
DAMAS (AFP) - Le régime syrien a affirmé avoir gagné "une fois pour toutes" la bataille contre l'opposition et les rebelles mais ses troupes bombardaient toujours samedi des poches de résistance et de violents combats se déroulaient près de Damas et dans le sud.
L'annonce de Damas intervient la veille de la réunion des "Amis de la Syrie" à Istanbul, où les représentants de plus de 70 pays devraient "accroître la pression" sur le régime du président syrien Bachar al-Assad qui réprime dans le sang la contestation depuis plus d'un an.
"La bataille pour faire tomber l'Etat en Syrie est terminée une fois pour toutes et une autre bataille a commencé, celle de la consolidation de la stabilité et la construction de la nouvelle Syrie", a affirmé le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Jihad Makdessi, cité par Sana.
Mais samedi, l'armée continuait de bombarder le quartier de Khaldiyé "avec une roquette par minute en moyenne" à Homs (centre), troisième ville de pays où sont retranchés des rebelles, tuant un enfant. De violents combats entre armée et rebelles se déroulaient également depuis l'aube près de Damas et dans la province de Deraa (sud), selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Carte des violences en Syrie, dont Homs toujours bombardée
Le porte-parole du ministère a affirmé que l'armée syrienne se retirerait des zones résidentielles dès que la sécurité et la paix civile seront rétablies, assurant que les soldats ne font que "se défendre et protéger les citoyens qui sont pris en otage la plupart du temps".
"L'armée n'est pas contente de se trouver dans les zones résidentielles et quittera les lieux dès le rétablissement de la sécurité et de la paix civile", a indiqué M. Makdessi.
Le régime du président Bachar al-Assad assimile l'opposition et la rébellion à du "terrorisme" et à un "complot" financé et soutenu par l'étranger.
Les troupes syriennes, de loin mieux équipées et plus nombreuses que les rebelles, sont déployées en masse dans l'ensemble du pays où elles bombardent sans relâche des poches de résistance avec des dizaines de victimes chaque jour. Près de 10.000 personnes, en majorité des civils ont péri en un an de violences, selon l'OSDH.
La révolte s'est militarisée au fil des mois, les rebelles, principalement des déserteurs de l'armée, disant chercher à défendre leurs villes et les civils, face à l'impuissance de la communauté internationale à faire cesser la répression menée par le régime.
Les violences se poursuivent malgré l'annonce par Damas de son acceptation du plan de l'émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe, Kofi Annan, qui préconise notamment la cessation de toute forme de violence armée par toutes les parties sous supervision de l'ONU, la fourniture d'aide humanitaire à toutes les zones affectées par les combats et la libération des personnes détenues arbitrairement.
Hillary Clinton et le prince Saoud al-Fayçal le 31 mars 2012 à Ryad
Avant sa participation à la réunion d'Istanbul, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, entamait son deuxième jour de visite à Ryad, où elle a tenu avec le roi Abdallah et son homologue Saoud al-Fayçal des entretiens axés sur les "efforts de la communauté internationale pour mettre fin au bain de sang en Syrie".
Vendredi, les violences ont fait 39 nouvelles victimes, dont 32 civils, lors d'une journée marquée par des manifestations de milliers de Syriens qui ont exprimé leur déception au lendemain d'un sommet arabe qui s'est contenté d'appeler régime et opposition au dialogue.
"Arabes, cessez de nous ignorer, le peuple syrien veut vivre en paix", clamaient des pancartes brandies par des manifestants.
Capture d'écran d'une vidéo diffusée sur YouTube, le 29 mars 2012, montrant un quartier de Homs bombardé par les forces syriennes
Le sommet arabe a évité d'appeler le président Assad au départ et d'apporter son soutien à l'armement des rebelles, comme le réclament l'Arabie saoudite et le Qatar. Il n'est pas non plus revenu sur un plan de la Ligue arabe prévoyant le transfert des fonctions du chef de l'Etat à son vice-président, de nouveau réclamé par le Conseil national syrien (CNS), principale coalition de l'opposition.
L'ONU envisage quant à elle de déployer une mission d'observateurs forte de 250 hommes pour surveiller un éventuel cessez-le-feu en Syrie, ont indiqué vendredi des diplomates.
L'organisation a demandé l'autorisation à Damas d'envoyer une équipe d'experts du département des opérations de maintien de la paix afin d'étudier sur place les conditions de ce déploiement. Le gouvernement syrien n'a pas encore répondu à cette demande.


Taxe sur les transactions financières: le débat relancé par l'Allemagne

 
03/31 | 13:03 GMT
La ministre danoise de l'Economie Margrethe Vestager au centre de la photo de famille des ministres des Finances de la zone euro le 30 mars 2012 à Copenhague
COPENHAGUE (AFP) - Le débat autour de l'instauration d'une taxe sur les transactions financières en Europe, qui semblait dans l'impasse, a été relancé après une proposition allemande de procéder par étapes pour tenter de convaincre les plus récalcitrants parmi les 27.
Le sujet a été largement abordé samedi par les ministres des Finances de l'UE réunis à Copenhague. La veille, le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, l'un des principaux promoteurs de cette taxe, leur a présenté un document dans l'optique de parvenir à un consensus.
L'exécutif européen avait présenté en septembre 2011 un projet de taxe sur les transactions financières pour toute l'Union européenne. Les taux retenus étaient de 0,1% sur les actions et les obligations et de 0,01% sur les autres produits financiers.
Neuf pays, dont l'Allemagne et la France, défendent son instauration. Mais d'autres comme la Grande-Bretagne y sont opposés car ils craignent qu'elle ne favorise la délocalisation d'activités financières.
Le document allemand "propose une étape intermédiaire" qui consisterait à "s'inspirer du droit de timbre britannique", une taxe prélevée sur certains transferts d'actions, ainsi que de la toute récente "taxe française sur les transactions financières", qui s'appliquera principalement aux actions des sociétés françaises dont la capitalisation dépasse un milliard d'euros.
La solution proposée par l'Allemagne "entraînerait une taxe sur toutes les transactions impliquant des actions de sociétés cotées en Bourse", mais "ne marquerait pas la fin des négociations" en vue d'une taxe qui s'appliquerait aux obligations et aux produits dérivés.
Le ministre allemand de l'Economie Wolfgang Schäuble le 14 novembre 2011 à Leipzig
Cette proposition a été bien accueillie par le ministre français des Finances, François Baroin. Elle "est sage, elle est soutenue. Il faut que nous avancions" dans ce dossier, a-t-il dit en marge de la réunion.
Son homologue finlandaise, Jutta Urpilainen, interrogée sur la proposition de M. Schäuble, a simplement répondu: "nous la soutenons".
La ministre danoise des Finances, Margrethe Vestager, a elle souligné à la fin de la réunion de samedi que c'était dans la recherche d'"alternatives" que son pays entendait prioritairement diriger les discussions, car "c'est là que l'atmosphère est la plus constructive".
Le ministre suédois des Finances, Anders Borg, dont le pays est l'un des plus réticents à imposer une telle taxe après une expérience malheureuse dans les années 1980, a carrément estimé qu'il serait "préférable d'abandonner la proposition de la Commission et de trouver une solution pragmatique", jugeant que se contenter d'un droit de timbre serait "moins coûteux pour l'économie et n'aurait pas d'effet négatif sur les marchés financiers".
Il a insisté sur la nécessité de trouver une solution "acceptable par Londres", où transitent 80% des transactions financières en Europe.
"Le Royaume-Uni est toujours très réticent à l'idée d'une taxe sur les transactions financière quelle qu'elle soit, mais il applique un droit de timbre, donc coordonner la taxation est quelque chose d'envisageable", a souligné M. Borg.
Le ministre britannique des Finances, George Osborne, ne s'est pas exprimé publiquement sur la question à Copenhague.
En attendant, M. Schäuble a convié d'autres pays, y compris parmi les opposants à la taxe, à participer à "un groupe de travail" pour avancer sur la question.
Une première réunion d'experts devrait avoir lieu la semaine prochaine, et le sujet pourrait être abordé lors de la prochaine réunion des ministres européens des Finances mi-mai.
La réunion de samedi a par ailleurs permis aux 27 d'échanger leurs points de vue sur une future proposition de la Commission européenne concernant la résolution des crises bancaires, et sur la régulation des agences de notation.
Sur ce dernier sujet, des désaccords persistent entre Etats sur la proposition d'imposer une rotation entre agences. "Le marché des agences de notation est très réduit, il faut donc s'assurer que la rotation puisse réellement fonctionner", a expliqué Mme Vestager.
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Colin Firth pode estrelar a versão americana do sucesso francês 'Intouchables'

 
03/30 | 19:20 GMT
Firth viverá um rico aristocrata tetraplégico na versão americana do filme francês
LOS ANGELES (AFP) - O ator britânico Colin Firth está em discussões para fazer o papel de François Cluzet na adaptação americana do sucesso de bilheteria francês "Intouchables", informou a revista Variety.
Os direitos do filme foram comprados pela distribuidora The Weinstein Company, que conduziu a vitoriosa campanha de divulgação do premiado "O Artista", vencedor de vários festivais internacionais e ganhador de cinco Oscars.
A Weinstein fará a distribuição de "Intouchables" nos Estados Unidos, onde estreará no dia 25 de maio, e também produzirá o remake.
Segundo a Variety, Colin Firth estaria em discussões avançadas para o papel de um rico aristocrata tetraplégico interpretado pelo francês François Cluzet. O papel de seu assistente, enfermeiro e amigo, interpretado na versão francesa pelo comediante Omar Sy, ainda não tem ator escolhido.
A direção será de Paul Feig, que esteve à frente do mega-sucesso cômico "Operação madrinha de casamento".
"Intouchables" será exibido em mais de 50 países, segundo a produtora Gaumont. O filme teve uma carreira impressionante na França, e valeu o César de melhor ator para Omar Sy, que arrebatou assim o prêmio do favorito da categoria, Jean Dujardin, protagonista de "O artista".
    

Ajuste espanhol passa no teste europeu, mas dúvidas persistem

 
03/31 | 14:01 GMT
Diretor do Banco Central espanhol, Miguel Ordonez, conversa com o ministro das Finanças da União Europeia, Luc Frieden
COPENHAGUE (AFP) - A Espanha obteve da Europa uma aceitação prudente de seu orçamento de 2012 - o mais duro de sua história - que tentará diminuir neste ano seu déficit em três pontos percentuais, mas várias perguntas ainda persistiam neste sábado para os especialistas sobre a rapidez e a viabilidade do ajuste.
Depois do anúncio do orçamento na sexta-feira em Madri, Jorg Asmussen, membro da diretoria do Banco Central Europeu (BCE), disse em Copenhague que ele deve ser aplicado o quanto antes, para que tenha um rápido impacto.
Asmussen expressou o medo de que o trâmite parlamentar espanhol atrase até junho a aplicação do ajuste, fazendo com que Madri só tivesse seis meses para reduzir seu déficit de 8,5% em 2011 a 5,3% no fim de 2012, como se comprometeu perante seus sócios europeus.
O ministro espanhol da Economia, Luis de Guindos, que explicou aos seus colegas europeus o projeto de orçamento durante uma reunião na capital dinamarquesa, prometeu sua implementação o quanto antes.
Ainda assim, reduzir em três pontos percentuais o déficit espanhol antes do fim do ano é uma tarefa difícil, admitiu neste sábado uma fonte europeia, apesar do anunciado ajuste de mais de 27 bilhões de euros.
Por sua vez, a enorme dificuldade para a Espanha é "encontrar o justo equilíbrio entre austeridade e crescimento", segundo Cyril Regnat, analista da Natixis.
Efetivamente, muitos especialistas temem que o plano de austeridade adotado possa acentuar a recessão - neste ano, o PIB espanhol deve cair 1,7% - em um país que já tem uma taxa recorde de desemprego (22,85%).
Além disso, "ainda é necessário saber o que as regiões (comunidades autônomas) farão" neste esforço, segundo o professor Luis Garicano, da London School of Economics, citado neste sábado pelo Financial Times.
De fato, as 17 comunidades autônomas do país são, em boa parte, responsáveis pelo déficit do país.
A mesma preocupação expressava neste sábado uma nota econômica do Crédit Suisse.
"Segue em vigor a pergunta sobre como as regiões vão se adaptar" ao ajuste, afirma a nota, ao comentar o orçamento espanhol, embora destaque como fator positivo o fato de que "11 das 17 comunidades autônomas estão nas mãos" do conservador Partido Popular (PP, no poder central).
Assim, as ordens de reduzir seus déficits "virão de cima", assegura.
Caixa eletrônico quebrado durante protesto contra as medidas de austeridade em Barcelona
No entanto, algumas medidas anunciadas, como uma anistia fiscal a capitais ocultos mediante o pagamento de uma pequena taxa de 10% só podem ser aplicadas uma vez e, portanto, só ajudarão uma vez a encher os cofres do Estado, destacava o professor Garitano.
O problema é que a Espanha não está apenas comprometida em reduzir seu déficit a 5,3% em 2012, mas também a seguir com sua diminuição em 2013 a 3%, como estipula o Pacto de Estabilidade e Crescimento europeu.
Muitos especialistas duvidam que este desafio esteja ao alcance de um país em recessão. François Baroin, ministro francês da Economia, expressou neste sábado sua confiança no executivo espanhol.
Madri "tem uma verdadeira determinação (...) em retornar a um nível de déficit de 3%", assegurou Baroin em uma coletiva de imprensa em Copenhague, admitindo que as reformas são "difíceis, mas necessárias para dar um impulso ao crescimento espanhol".
A Espanha é uma ameaça para a Eurozona? "Não, não refletimos nestes termos", limitou-se a dizer Baroin.
Em todo o caso, apesar de tantas perguntas, a reação inicial dos mercados foi positiva, uma vez conhecido o fortalecimento (a 800 bilhões de euros) da porta corta-fogo anticrise da Europa, que poderá ser utilizada se uma ajuda à Espanha for necessária.
As bolsas do continente, incluindo a de Madri, subiram na sexta-feira, e as taxas das obrigações espanholas a 10 anos fecharam a semana em 5,33%, contra 5,44% na véspera, um sintoma de relativa serenidade no mercado da dívida.




Brutal ofensiva de censura contra internet na China

 
03/31 | 13:42 GMT
As autoridades chinesas impuseram o fechamento de 16 sites de internet e prenderam seis pessoas
PEQUIM (AFP) - A China anunciou neste sábado grandes restrições para a utilização de microblogs, o fechamento de vários sites de internet e a prisão de pessoas acusadas de espalhar rumores de golpe de Estado em Pequim.
Esta brutal ofensiva de censura ocorre quinze dias após a destituição do responsável carismático Bo Xilai, uma reviravolta política que rompeu a imagem de unidade que o Partido Comunista Chinês deseja transmitir.
O incidente alimentou todo tipo de especulações na rede.
Neste sábado, os dois principais serviços de microblogs chineses, Sina Weibo e Tencent QQ, suspenderam a possibilidade para os internautas de fazer comentários on-line, oficialmente para lutar contra os "rumores perniciosos".
Os dois grupos afirmaram que esta medida se manteria vigente até o dia 3 de abril, num momento em que as autoridades mostram um nervosismo crescente diante da onda de críticas que circulam pelos microblogs.
Estas mensagens, que contam com um máximo de 140 ideogramas, são muito populares entre os chineses quando querem se queixar ou denunciar escândalos. Segundo os observadores, têm um papel essencial para modelar a opinião pública.
Os internautas chineses, já submetidos a uma censura draconiana que bloqueia Twitter, Facebook ou Youtube, não demoraram para reagir.
"Suspender os comentários de todos os utilizadores de microblogs é um atentado grave contra a liberdade de expressão e isso ficará gravado na história", considerou Lawyer 80, em weibo.com.
Peng Xiaoyun, outro ciberativista, convocou seus pares a se mobilizar temendo um agravamento da repressão.
"Se você guardar silêncio hoje, quando os comentários são suspensos, seguirá se calando amanhã, quando os microblogs serão fechados, e todos ficarão calados quando o prenderem", advertiu.
A China, conta com mais de 500 milhões de internautas e mais de 300 milhões de contas weibo registradas.
Peng informou que se mudava para o Google +. Como ele, outros internautas convocaram a deixar os sistemas chineses e entrar em redes sociais estrangeiras (Facebook, Twitter), embora seja preciso burlar a censura para consultá-los na China.
Por sua vez, as autoridades chinesas impuseram o fechamento de 16 sites de internet e prenderam seis pessoas por "criar e propagar rumores", anunciou neste sábado a agência Nova China.
Segundo a polícia, citada pela agência oficial, estes sites são acusados de ter informado sobre "a entrada em Pequim de veículos militares, (mostrando que) as coisas não andavam bem em Pequim".
Sempre segundo a polícia, um número indeterminado de utilizadores da rede foi "advertido e educado" por ter difundido estes rumores, que, na semana passada, agitaram os fóruns de discussão.
A China, onde a imprensa é controlada pelo Estado, conta com mais de 500 milhões de internautas e mais de 300 milhões de contas weibo registradas.
O Partido Comunista Chinês, partido único no poder, seguiu com olhares inquietos a primavera árabe, sobretudo pelo papel das redes sociais como ferramenta de mobilização rápida e anônima para os militantes pró-democracia.
    

Governo sírio clama vitória, mas os combates prosseguem

 
03/31 | 13:51 GMT
Imagens captadas de vídeo no YouTube. Tanques do exército atacam al-Hamidiya , em Homs
DAMASCO (AFP) - O regime sírio afirmou que ganhou definitivamente a batalha contra a oposição e os rebeldes, mas suas tropas seguiam bombardeando neste sábado várias cidades e travando violentos combates perto de Damasco e no sul do país.
O anúncio de Damasco ocorre um dia antes da reunião dos "Amigos da Síria" em Istambul, onde os representantes de mais de 70 países devem "aumentar a pressão" sobre o regime do presidente sírio Bashar al-Assad, que reprime de forma sangrenta os protestos há mais de um ano.
"A batalha para fazer o Estado da Síria cair já terminou e começou outra batalha, a da consolidação da estabilidade e da construção da nova Síria", afirmou o porta-voz do ministério das Relações Exteriores, Jihad Makdessi, citado pela agência oficial Sana.
Mas, neste sábado, o exército seguia bombardeando o bairro de Khaldiyé "com um foguete por minuto em média" em Homs (centro), terceira maior cidade do país e onde estão entrincheirados os rebeldes, segundo o Observatório Sírio de Direitos Humanos (OSDH).
Ao menos sete pessoas, em sua maioria civis, morreram neste sábado na Síria, onde as forças do regime dispararam contra os participantes no funeral de manifestantes mortos na véspera em Damasco, de acordo com o OSDH.
Violentos combates entre exército e rebeldes seguiam também desde a madrugada perto de Damasco e na província de Deraa (sul), segundo o OSDH.
O porta-voz da chancelaria afirmou que o exército sírio se retirará das zonas residenciais quando a segurança e a paz civil forem restabelecidas, assegurando que os soldados só "se defendem e protegem os cidadãos, que são reféns na maioria das vezes".
"O exército não está satisfeito por estar presente nas zonas residenciais e deixará estes locais quando forem estabelecidas a segurança e a paz civil", indicou Makdessi.
Hillary Clinton se reúne com o Conselho de Cooperação do Golfo para preparar reunião dos "Amigos da Síria"
As tropas sírias, de longe melhor equipadas e com mais homens que os rebeldes, estão mobilizadas de forma massiva em todo o país, onde bombardeiam sem descanso os redutos de resistência, deixando dezenas de vítimas diárias. Cerca de 10 mil pessoas, em sua maioria civis, morreram em um ano de violência, segundo a OSDH.
A violência prossegue, apesar do anúncio de aceitação pelo regime do plano elaborado pelo emissário da ONU e da Liga Árabe, Kofi Annan, que defende o fim da violência armada por todas as partes, sob supervisão da ONU, o fornecimento de ajuda humanitária e a libertação de pessoas detidas de forma arbitrária.
Representantes de mais de 70 países "Amigos da Síria" são esperados no domingo em Istambul para aumentar a pressão sobre o regime e fazer a implementação do plano Annan avançar.
Os chefes da diplomacia dos Estados Unidos, as principais potências europeias e a maioria dos países da Liga Árabe participarão desta segunda conferência dos "Amigos da Síria", onde a oposição será representada por sua principal coalizão, o Conselho Nacional Sírio (CNS).
Rússia e China, que são os dois principais apoios do regime sírio e bloquearam resoluções do Conselho de Segurança da ONU sobre a Síria, rejeitaram o convite.
Para preparar a reunião, a secretária americana de Estado, Hillary Clinton, viajou a Riad para conversar com rei Abdullah e com seu homólogo saudita Saul al-Faysal sobre os esforços internacionais "para pôr fim ao banho de sangue na Síria".

Brutal ofensiva de censura contra internet na China

Veja o Jornal Internet em tempo real


 
03/31 | 13:42 GMT
As autoridades chinesas impuseram o fechamento de 16 sites de internet e prenderam seis pessoas
PEQUIM (AFP) - A China anunciou neste sábado grandes restrições para a utilização de microblogs, o fechamento de vários sites de internet e a prisão de pessoas acusadas de espalhar rumores de golpe de Estado em Pequim.
Esta brutal ofensiva de censura ocorre quinze dias após a destituição do responsável carismático Bo Xilai, uma reviravolta política que rompeu a imagem de unidade que o Partido Comunista Chinês deseja transmitir.
O incidente alimentou todo tipo de especulações na rede.
Neste sábado, os dois principais serviços de microblogs chineses, Sina Weibo e Tencent QQ, suspenderam a possibilidade para os internautas de fazer comentários on-line, oficialmente para lutar contra os "rumores perniciosos".
Os dois grupos afirmaram que esta medida se manteria vigente até o dia 3 de abril, num momento em que as autoridades mostram um nervosismo crescente diante da onda de críticas que circulam pelos microblogs.
Estas mensagens, que contam com um máximo de 140 ideogramas, são muito populares entre os chineses quando querem se queixar ou denunciar escândalos. Segundo os observadores, têm um papel essencial para modelar a opinião pública.
Os internautas chineses, já submetidos a uma censura draconiana que bloqueia Twitter, Facebook ou Youtube, não demoraram para reagir.
"Suspender os comentários de todos os utilizadores de microblogs é um atentado grave contra a liberdade de expressão e isso ficará gravado na história", considerou Lawyer 80, em weibo.com.
Peng Xiaoyun, outro ciberativista, convocou seus pares a se mobilizar temendo um agravamento da repressão.
"Se você guardar silêncio hoje, quando os comentários são suspensos, seguirá se calando amanhã, quando os microblogs serão fechados, e todos ficarão calados quando o prenderem", advertiu.
A China, conta com mais de 500 milhões de internautas e mais de 300 milhões de contas weibo registradas.
Peng informou que se mudava para o Google +. Como ele, outros internautas convocaram a deixar os sistemas chineses e entrar em redes sociais estrangeiras (Facebook, Twitter), embora seja preciso burlar a censura para consultá-los na China.
Por sua vez, as autoridades chinesas impuseram o fechamento de 16 sites de internet e prenderam seis pessoas por "criar e propagar rumores", anunciou neste sábado a agência Nova China.
Segundo a polícia, citada pela agência oficial, estes sites são acusados de ter informado sobre "a entrada em Pequim de veículos militares, (mostrando que) as coisas não andavam bem em Pequim".
Sempre segundo a polícia, um número indeterminado de utilizadores da rede foi "advertido e educado" por ter difundido estes rumores, que, na semana passada, agitaram os fóruns de discussão.
A China, onde a imprensa é controlada pelo Estado, conta com mais de 500 milhões de internautas e mais de 300 milhões de contas weibo registradas.
O Partido Comunista Chinês, partido único no poder, seguiu com olhares inquietos a primavera árabe, sobretudo pelo papel das redes sociais como ferramenta de mobilização rápida e anônima para os militantes pró-democracia.
    

El ajuste español pasa el examen europeo pero los interrogantes persisten

 
03/31 | 13:15 GMT
El ministro español de Hacienda, Cristóbal Montoro, el viernes.
COPENHAGUE (AFP) - España obtuvo una prudente anuencia europea a su presupuesto 2012 -el más duro de su historia- para rebajar este año su déficit en tres puntos, pero varios interrogantes persistían este sábado para los expertos sobre la rapidez y la viabilidad del ajuste.
Apenas anunciado el viernes en Madrid el presupuesto, Jorg Asmussen, miembro del directorio del Banco Central Europeo (BCE), dijo desde Copenhague que debía ser aplicado lo más velozmente posible, para que tenga un rápido "impacto".
Asmussen expresó el temor de que el trámite parlamentario español retrase hasta junio la aplicación del ajuste, con lo que Madrid sólo tendría seis meses para reducir su déficit de 8,5% en 2011 a 5,3% a fines de 2012, como se comprometió ante sus socios europeos.
El ministro español de Economía, Luis de Guindos, quien "explicó" a sus colegas europeos el proyecto de presupuesto durante una reunión en la capital danesa, prometió su implantación "lo antes posible".
Aún así, reducir en tres puntos el déficit español antes de fin de año es una tarea "difícil", admitió este sábado una fuente europea, pese al anunciado ajuste de más de 27.000 millones de euros.
Por otra parte, la enorme dificultad para España es "hallar el justo equilibrio entre austeridad y crecimiento", según Cyril Regnat, analista de Natixis.
En efecto, muchos expertos temen que la cura de austeridad adoptada pueda acentuar la recesión -este año el Producto Interior Bruto (PIB) español debe caer 1,7%- en un país que ya tiene una tasa récord de desempleo (22,85%).
Además, "queda por saber lo que las regiones (comunidades autónomas) harán" en este esfuerzo, según el profesor Luis Garicano, del London School of Economics, citado este sábado por Financial Times.
En efecto, las 17 Comunidades Autónomas del país son en buena parte responsables de los déficits del país.
La misma preocupación expresaba este sábado una nota económica del Crédit Suisse.
"Sigue vigente el interrogante sobre cómo las regiones van a adaptarse" al ajuste, dice la nota al comentar el presupuesto español, aunque destaca como factor positivo el hecho de que "11 de las 17 comunidades autónomas estén en manos" del conservador Partido popular (PP, en el poder central).
Así, las órdenes de reducir sus déficits "vendrán de arriba", asegura.
Sin embargo, algunas medidas anunciadas, como una amnistía fiscal a capitales ocultos mediante pago de un pequeño gravamen del 10%, sólo pueden aplicarse una vez y por tanto sólo una vez engrosarán las arcas del Estado, destacaba el profesor Garitano.
El problema es que España no sólo está comprometida a reducir su déficit a 5,3% en 2012, sino también a seguir rebajándolo en 2013 a 3%, como estipula el Pacto de Estabilidad y Crecimiento europeo.
Muchos expertos dudan que ese desafío esté al alcance de un país en recesión. François Baroin, ministro francés de Economía, expresó sin embargo este sábado su "confianza" en el ejecutivo español.
Madrid "tiene una verdadera determinación (..) en retornar a un nivel de déficit del 3%", aseguró Baroin en rueda de prensa en Copenhague, admitiendo que las reformas son "difíciles pero necesarias para dar un impulso al crecimiento español".
¿Es España una amenaza para la zona euro? "No, no reflexionamos en esos términos", se limitó a decir Baroin.
En todo caso, pese a tantos interrogantes, la reacción inicial de los mercados fue positiva una vez conocido el fortalecimiento (a 800.000 millones de euros) del cortafuego anticrisis de Europa, que podría acudir si fuera necesario en ayuda de España.
Las Bolsas del continente, incluida la de Madrid, subieron el viernes, y las tasas de las obligaciones españolas a 10 años cerraron la semana a 5,33%, contra 5,44% la víspera, un síntoma de relativa serenidad en el mercado de la deuda.


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As questões esquecidas no debate sobre desigualdade

Por Theo Vermaelen, The New York Times News Service/Syndicat

As questões esquecidas no debate sobre desigualdade
O presidente Barack Obama está fazendo da criação de maior igualdade de renda e riqueza um ponto central da campanha à reeleição. Trata-se de algo notável para um presidente norte-americano já que os políticos dos Estados Unidos, ao contrário das contrapartes europeias, geralmente enfatizam a criação da riqueza, não sua redistribuição.
Segundo reza a lenda, quando um pobre norte-americano vê o carro de um rico, fica inspirado a trabalhar duro para também adquirir tal automóvel. Por outro lado, quando um pobre francês vê o carro de um ricaço, ele fica inspirado a riscar o veículo e votar num partido político que pretenda se livrar dos milionários.
Os oponentes da desigualdade de renda geralmente ignoram incentivos e diferencias de risco, concentrando-se apenas em comparações dentro de um país, não em âmbito global. Na verdade, porém, essas questões não são nem um pouco simples.
Imagine que Mary seja mais rica do que John. O mundo não seria melhor se um burocrata do governo pegasse o dinheiro da Mary e desse ao John, nivelando sua riqueza?
O problema desse argumento é que ele ignora como Mary e John obtiveram a riqueza. Talvez Mary e John tivessem a mesma quantia dez anos atrás, mas John decidiu ser professor, tirar muitas férias e investir seu dinheiro em títulos do governo de baixo risco e pouco rendimento. Mary, por sua vez, decidiu virar empreendedora, arriscou as economias e trabalhou 80 horas por semana. Se o governo tivesse anunciado, dez anos atrás, que dentro de uma década a riqueza estaria nivelada, é muito provável que Mary não teria virado empreendedora e, sim, seguido o exemplo de John. Além disso, se John tivesse trabalhado na empresa de Mary, provavelmente ele estaria mais pobre hoje em dia.
Criar uma sociedade na qual todos têm a mesma fatia da pizza produzirá uma redonda menor. A única maneira de redistribuir riqueza sem provocar os efeitos do incentivo negativo é surpreender as pessoas: um dia, o governo bate à porta da Mary, toma metade de seu dinheiro e o dá ao John. Isso provavelmente também poria um fim na carreira do político que sonhou com essa ideia radical, então não é provável que ela se concretize numa democracia. Contudo, ela se realizou na Rússia, em 1917, e na China, em 1949.
Alguns argumentarão que a desigualdade de riqueza é causada pela sorte, não pelo esforço. Por exemplo, Mary herdou a riqueza do pai, Peter, que foi um empreendedor dez anos antes, tornou-se muito bem-sucedido e morreu, deixando todo o dinheiro para a filha. Assim, este é um argumento para um imposto pesado sobre o espólio: quando se morre, a riqueza é confiscada pelo Estado e redistribuída aos pobres. Além disso, para impedir que as pessoas burlem o imposto de espólio, deveria haver um limite sobre quanta riqueza seria possível repassar aos filhos durante a vida.
No entanto, basicamente, isso significaria o fim do negócio familiar. Sob tais circunstâncias, Peter, ao chegar ao fim da vida, provavelmente começaria a investir menos na empresa, criaria menos empregos e tiraria mais férias. Sua filha, Mary, teria de achar uma ocupação fora da empresa da família.

O movimento Ocupe Wall Street é contra um tipo de desigualdade em particular: os bônus dos banqueiros, principalmente o pago em bancos que receberam socorro financeiro. Culpar o recebedor do bônus é meio esquisito, no entanto, já que foi o governo quem decidiu salvar os bancos, sentindo que a alternativa seria pior.

Além disso, o governo poderia ter insistido em limitar a remuneração dos banqueiros em troca do auxílio, mas, em geral, não foi assim que aconteceu. Por exemplo, em troca do socorro, o governo dos EUA preferiu ações e "warrants" sem direito a voto. O raciocínio parece o de que existe mercado para banqueiros e, se o banco socorrido pagar salários abaixo do mercado, deixará de atrair profissionais capacitados. Por fim, isso reduziria o valor do banco e, dessa forma, a participação governamental. Assim "matar os banqueiros de fome", gesto apreciado pelo público em geral, pode no fim das contas não ser do interesse dos contribuintes.

Para evitar incentivos influentes, alguns afirmam que devemos buscar uma sociedade que garanta oportunidades iguais, não resultados iguais. Deve ser por isso que as pessoas não ficam indignadas pelas desigualdades enormes criadas pela loteria, por meio da qual as pessoas podem virar milionárias da noite para o dia, sem esforço, por pura sorte. Infelizmente, não existe engenharia social neste mundo capaz de garantir oportunidades iguais. Todos nós nascemos com talentos e potenciais distintos.

Minha objeção final à obsessão pela igualdade é que as mensurações da desigualdade são geralmente específicas de um país. Isso é compreensível por um político, já que os estrangeiros não votam. A globalização costuma levar a culpa pelo aumento da desigualdade no mundo ocidental, à medida que os empregos industriais são terceirizados na China e Índia, onde os salários são mais baixos. A verdade, porém, é que o chinês ou indiano médio viu o padrão de vida crescer em resultado da mundialização. Trocando em miúdos, enquanto a globalização pode ter criado maior desigualdade entre os trabalhadores do setor de serviços _ cujos empregos não podem ser terceirizados _ e os da indústria nos EUA, por exemplo, ela reduziu a diferença entre a renda per capita entre os EUA e Índia ou China.

A desigualdade da renda global foi reduzida neste século, principalmente no fim do século, em resultado da mundialização e do fato de que os países tradicionalmente socialistas e regiões como China, leste europeu e Índia adotaram o capitalismo. Em resultado, centenas de milhões de pessoas nesses países abandonaram a pobreza.

Para reduzir a desigualdade global, portanto, precisamos de mais capitalismo, não de menos. Contudo, ainda falta um longo caminho para chegar àquela igualdade. Hoje em dia, a renda per capita nos EUA é de US$ 47 mil, mas de apenas US$ 7 mil na China.

(Theo Vermaelen é professor de finanças internacionais e gestão de ativos na escola internacional de negócios INSEAD.)

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Por dentro dos negócios, 25/03

Por Vários Autores, The New York Times News Service/Syndicate

Por dentro dos negócios, 25/03
Se há tanto desemprego, porque é tão difícil contratar?
Robert Moritz
Porque as empresas dos Estados Unidos não estão liderando a recuperação da economia mundial? Mercados de capital inconstantes, políticas fiscais e incerteza regulatória, tudo tem o seu papel. Mas há outro fator que irá, em breve, superar os demais _ um abismo cada vez maior entre as vagas para empregos especializados e os talentos necessários para preenchê-las. A incapacidade de encontrar e cultivar as habilidades desses talentos está impedindo que as empresas norte-americanas inovem em sua busca pela vantagem competitiva.
Mas esse não é um problema exclusivo dos Estados Unidos: De acordo com a décima quinta pesquisa anual de CEOs promovida pela PricewaterhouseCoopers, publicada no início deste ano, quase 50 por cento dos CEOs do mundo afirmam que está mais difícil compensar esse déficit de qualificação.
Mas como é possível que seja tão difícil encontrar funcionários talentosos, quando a taxa de desemprego nos Estados Unidos e na Europa continua tão alta?
O problema é que os efeitos da crise financeira que aumentou a taxa de desemprego são menores que os da transformação digital sobre os mercados mundiais. Inovações como os smartphones e a facilidade de transportar dados financeiros por meio de tecnologias móveis proporcionam mais resultados imediatos positivos para as economias emergentes do que para as desenvolvidas. Os dados demográficos estão do lado deles e há menos setores que precisam ser suplantados. Contudo, só agora as empresas ocidentais estão começando a perceber o que a revolução digital promete e a entender seu impacto profundo.
Normalmente, transformações dessa natureza geram um déficit de qualificação que é temporário. Mas uma transformação dessa dimensão levará muito mais tempo do que as pequenas mudanças que vimos nos últimos anos. Isso significa que o descompasso entre o número de pessoas qualificadas e a demanda por inovações constantes provavelmente continuará na pauta dos CEOs do ocidente e do oriente por muito tempo após o fim da crise financeira.
Atualmente, 75 por cento dos CEOs americanos e 70 por cento dos CEOs do resto do mundo afirmaram em nossa pesquisa que estão investindo no treinamento para garantir um fluxo de funcionários qualificados no futuro. Contudo, as empresas não podem fazer isso sozinhas _ e, por isso, elas estão procurando formar parcerias com os governos. Na verdade, 57 por cento dos CEOs dos Estados Unidos afirmam que financiar a formação de trabalhadores especializados deveria ser uma das prioridades do governo. Os CEOs americanos querem formar novas parcerias público-privadas para recuperar sua competitividade e aproveitar todos os desafios e oportunidades da transformação digital.
(Robert Moritz é diretor e parceiro sênior da PricewaterhouseCoopers. Ele também é o integrante americano da PwC International.)
Manter as portas abertas pode prejudicar sua carreira.

Daniel Gulati

Diversificar seus sonhos é algo sensato. O alto nível de volatilidade do mercado de trabalho provavelmente não vai mudar e o custo de fazer experiências caiu dramaticamente. Entretanto, uma parte frequentemente ignorada dessa estratégia é a necessidade de colocar um foco em suas paixões quando se vivencia o sucesso no início da carreira. Constantemente, eu vejo pessoas que criaram muitas opções para suas carreiras escolherem o caminho que mantém a maioria das portas abertas. Mas, com o tempo, essa é uma estratégia de carreira que traz menos benefícios. Imagine um consultor de estratégia sendo considerado para uma vaga de diretor financeiro em uma empresa da Fortune 100. É simplesmente improvável.

Ocupar um nicho desde o início de sua carreira pode ajudá-lo a se destacar em um momento de intensa competição. Durante a fase de candidatura, exibir boas competências e alinhamento com a função pode aumentar suas chances de ser chamado para uma entrevista. E, como especialista, você estará preparado para convencer seu potencial empregador de sua habilidade de proporcionar ganhos sem precisar de muita ajuda, ao apresentar um histórico de sucessos anteriores em funções semelhantes.

Em especial para líderes mais jovens, este talvez seja o momento para afinar o seu discurso. A seguir, três perguntas que você deve se fazer a si próprio:

1. Em que momento devo começar a me especializar? Conforme argumenta Clayton Christensen, professor da faculdade de administração da Harvard, é importante separar algum tempo para descobrir suas paixões e trabalhar no sentido de aumentá-las durante sua vida. Faça isso logo no início de sua carreira, para que você não fique preso na plateia enquanto outra pessoa leva o Oscar.

2. No que devo me especializar? Na economia dinâmica dos dias de hoje, pode ser difícil escolher um setor que continuará sendo relevante no futuro. Com suas paixões em primeiro plano, escolha uma área que seja grande e que esteja crescendo, onde você possa acumular muitas competências transferíveis.

3. Quanto devo me especializar? Caso sua função não apresente desafios, ou você não se identifique com seu conteúdo, é provável que você esteja indo longe demais. Esse pode ser o momento de encontrar alguma coisa que seja mais estimulante, ou, pelo contrário, se envolver ainda mais com os aspectos de sua função com os quais você mais se identifica.

A escolha entre ficar aberto ou se especializar é uma tarefa difícil, mas, muitas vezes, o especialista ganha. Aqueles que conseguem se rotular corretamente podem obter novas oportunidades de trabalho, alcançar objetivos mais rapidamente e avançar com mais confiança.

(Daniel Gulati é empreendedor do setor de tecnologia e mora em Nova York. Ele é coautor do novo livro "Passion & Purpose: Stories from the Best and Brightest Young Business Leaders" _ "Paixão e Propósito: Histórias dos Melhores e Mais Brilhantes Jovens Líderes Empresariais", em tradução literal.)
A maneira correta de demitir alguém

Ron Ashkenas

É provável que a parte mais difícil do trabalho de um gestor seja dizer a um de seus subordinados que ele não continuará na empresa _ que ele foi "demitido", "dispensado" ou "mandado embora". É uma conversa de cortar o coração, sabendo como esse ato simples pode afetar profundamente a carreira, a autoestima e a renda de uma pessoa. Demitir um funcionário pode afetar a todos em sua equipe e pode levá-los a questionar seu julgamento e a própria estabilidade de seus empregos.

Em vista desses aspectos emocionais, muitos gerentes deixam que a ansiedade, ao invés do intelecto, conduza o processo de demissão, tornando ainda pior esse momento difícil. Para evitar que isso aconteça, seguem algumas diretrizes para aqueles momentos em que demitir um funcionário se torna uma necessidade:

Em primeiro lugar, certifique-se de que despedir seu funcionário é o último passo de um processo longo, refletido e transparente. Se a demissão está relacionada ao mau desempenho, ela só deve ocorrer depois de uma série de conversas sobre performance, de planos e de ações documentadas. Se a demissão é decorrente da reorganização da empresa, ela também deve ocorrer após uma série de diálogos e de alguns "avisos cordiais". O principal é que, se possível, ela não seja uma surpresa.

Em segundo lugar, vá à reunião de demissão preparado para responder a uma série de perguntas de ordem prática que a pessoa pode fazer: Quando será a data oficial do desligamento? Existem acordos de indenização? Existem oportunidades em outras áreas da empresa? Há algum tipo de aconselhamento de carreira disponível? O que acontece com os benefícios?

Em terceiro lugar, durante a reunião, esteja pronto para ouvir, não para reagir. Perder um emprego pode ser traumático e seu funcionário pode apresentar uma série de emoções que ele talvez direcione a você. Faça o possível para não responder. Escute com respeito e, então, fale com a pessoa sobre os aspectos práticos de seguir em frente. Ofereça-se para conversar novamente em outro momento, quando os ânimos não estiverem tão exaltados, ou peça para que um conselheiro de recursos humanos se junte a vocês.

Por fim, depois da demissão, converse com os funcionários restantes sobre o processo, as razões por trás da decisão e as implicações para eles (dentro dos limites da confidencialidade, é claro). Em alguns casos, eles compreenderão completamente a sua decisão; em outros, não. Seja como for, você precisa ser sensível às emoções de seus funcionários e, em seguida, ajudá-los a redirecionar seu foco para o trabalho.

Evitar a ansiedade associada à demissão de um funcionário apenas piora as coisas. Portanto, se você tem que fazer isso, faça direito.

(Ron Ashkenas é sócio-gerente da Schaffer Consulting e coautor de "O Work-Out da GE" e "The Boundaryless Organization" _ "A Organização sem Fronteiras", em tradução livre. Seu livro mais recente é "Simplesmente Eficaz: Como Driblar A Complexidade".)
Equipes virtuais podem superar as equipes tradicionais

Keith Ferrazzi

Muitos de nós já nos vimos envolvidos em equipes de trabalho nas quais precisamos colaborar com pessoas em diferentes fusos horários. É comum pressupor que esse tipo de dispersão levará necessariamente à falta de eficiência e a um desempenho prejudicado. Mas as equipes podem ser extremamente eficientes até mesmo quando seus membros jamais se encontraram pessoalmente. Na verdade, equipes virtuais podem ter desempenhos superiores ao de grupos tradicionais localizados no mesmo espaço. Um estudo recente com 80 equipes de desenvolvimento de software, com programadores nos Estados Unidos, na América do Sul, na Europa e na Ásia, comprovou que equipes virtuais podem aumentar a eficiência e melhorar os resultados comerciais. Porque isso ocorre?

As equipes virtuais podem:

_ Contar com os melhores conhecimentos em qualquer localidade.

_ Reduzir o ciclo de vida dos projetos por meio do uso astuto de um cronograma de 24 horas. Ao final do expediente, membros da equipe em Boston, por exemplo, podem deixar uma lista de afazeres para seus equivalentes em Xangai.

_ Explorar abordagens diversificadas, em especial dos membros que trabalham mais perto dos clientes.

Contudo, conforme o estudo deixa claro, equipes espalhadas só são capazes de superar as que trabalham no mesmo local caso sejam gerenciadas de maneira apropriada. A seguir, algumas diretrizes:

1. Desenvolva os processos adequados. Todas as equipes de projeto precisam dos processos corretos para controlar a forma como o trabalho é feito _ coordenar quem vai fazer o quê, como as decisões serão tomadas, etc. Mas as equipes que trabalham no mesmo local conseguem se sair bem, apesar de um gerenciamento descuidado, ao passo que as equipes virtuais têm pouca margem de erro.

2. Comunique-se menos _ mas da maneira correta. Muitos gerentes de equipes virtuais presumem equivocadamente que comunicações mais frequentes _ reuniões de projeto semanais, e-mails de atualização _ são necessárias para assegurar que todos estejam em sintonia. Mas isso pode facilmente levar a um excesso de informações que as pessoas ignoram. Ao invés disso, o importante é a qualidade e a previsibilidade das comunicações.

3. Mantenha os conflitos centrados nas tarefas. Conflitos entre os membros da equipe não são necessariamente ruins _ com frequência, eles levam a melhores soluções. Mas os conflitos podem se tornar pessoais com muita facilidade nas equipes virtuais, em consequência da falta de camaradagem. Por essa razão, é importante explorar várias formas de vínculo social, como a troca de informações pessoas e profissionais por meio de uma plataforma de mídias sociais, ou realizar um pequeno intervalo antes das reuniões para que os membros possam compartilhar o que está acontecendo em suas vidas.

(Keith Ferrazzi é CEO da Ferrazzi Greenlight, empresa de consultoria e de treinamento, e autor de "Who's Got Your Back" _ "Quem te defende?", em tradução livre.)

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EUA vão reajustar taxas de visto a partir do dia 13

EUA reajustarão taxas de visto a partir do dia 13 (Wilton Junior/AE)

Por WLADIMIR DANDRADE, estadao.com.br, Atualizado: 30/3/2012 17:39

 

O Departamento de Estado dos Estados Unidos vai reajustar as taxas cobradas para vistos de entrada do país a partir do dia 13 de abril. Boa parte das taxas para não imigrantes terá os preços aumentados, enquanto as cobradas para imigrantes terão valores reajustados para baixo. Os pedidos de autorização encaminhados até o dia 12 terão os preços mantidos, mesmo que a entrevista ocorra em uma data posterior.
As taxas de não imigrantes, que atualmente vão de US$ 14 a US$ 390, passarão a custar de US$ 15 a US$ 270, dependendo do tipo de visto. Apenas duas dessas taxas ficarão mais baratas a partir do próximo dia 13, enquanto as outras terão preços mais elevados. As taxas para turistas passarão de US$ 140 para US$ 160.
Taxas cobradas para imigrantes terão, todas elas, redução de preços, que hoje variam de US$ 305 a US$ 720 e passarão a custar de US$ 220 a US$ 405. O Departamento de Estado alega que os reajustes são necessários para cobrir as despesas do processamento dos vistos. 'As atuais taxas já não cobrem o atual custo do processo de vistos para não imigrantes', afirma o órgão, em nota. A medida foi publicada hoje no diário oficial dos Estados Unidos.
Taxas para não imigrantes irão aumentar e para imigrantes serão reajustadas para baixo

'Um malfeito', diz Luiz Sérgio sobre contrato da pesca

Pedir verba de empresa contratada é 'malfeito', diz ex-ministro da Pesca (Dida Sampaio/AE)
 
Por AE, estadao.com.br, Atualizado: 31/03/2012 08:32 
Sucessor de Ideli Salvatti no Ministério da Pesca, o deputado petista Luiz Sérgio classificou ontem, sexta-feira de 'malfeito' a ação da Pasta de cobrar dinheiro para o PT de Santa Catarina após contratar por R$ 31 milhões uma empresa para fornecer lanchas-patrulha. A Intech Boating doou R$ 150 mil ao comitê financeiro do partido, que bancou 81% dos custos da candidatura de Ideli, hoje ministra de Relações Institucionais, ao governo do Estado.
'Em relação à iniciativa do ministério de buscar contribuições, minha posição é contrária a isso, não é função de ministério arrecadar dinheiro para candidaturas ou para partidos', disse o ex-ministro da Pesca, a quem coube dar destino à maior parte das 28 embarcações compradas. As lanchas-patrulha estavam estragando, sem uso, num caso de desperdício de dinheiro público investigado pelo Tribunal de Contas da União (TCU).
Questionado se enxergava corrupção no caso, Luiz Sérgio optou pelo vocabulário adotado pela presidente Dilma Rousseff. 'Eu diria, como a nossa presidente tem feito, que é um malfeito'. Luiz Sérgio ficou no cargo apenas seis meses, depois de perder o posto de articulador político do governo para a ministra Ideli Salvatti, em junho do ano passado.
Anteontem, o dono da Intech Boating, José Antônio Galízio Neto, informou ao Grupo Estado que a doação ao partido havia sido feita em 2010 a pedido do ministério. 'A solicitação veio pelo Ministério da Pesca, é óbvio. E eu não achei nada demais, porque eu estava trabalhando para o governo, faturando naquele momento R$ 23 milhões, R$ 24 milhões, não havia nenhum tipo de irregularidade', disse, mudando em seguida de versão, e apontando um político local, 'um vereador ou candidato a deputado, uma coisa assim', como o responsável pelo pedido de doação ao PT. As informações são do jornal O Estado de S. Paulo. copiado : http://estadao.br.msn.com/ultimas-noticias/um-malfeito-diz-luiz-s%c3%a9rgio-sobre-contrato-da-pesca

 

A cortina de fumaça e a angústia do Magistrado

Por FAUSTO MACEDO, estadao.com.br, Atualizado: 31/03/2012 03:10
Aos 68 anos, desde 1975 a toga é sua vida. Caetano Lagrasta Neto é um homem angustiado. Nos arredores da Sé, no 18.º andar, o desembargador contempla o retrato dos filhos e netos, sobre o armário do gabinete no Tribunal de Justiça de São Paulo. 'É um final de carreira melancólico o meu, apontado na rua, no clube, em família.'
Apontado, ele diz, como um dos milionários da corte, aquinhoado com pagamento antecipado de grande soma, o que não é verdade. A infâmia o desconforta, por isso clama pela publicação da lista dos bem-pagos. 'Escuto toda hora: 'Você recebeu?' Eu nem falo mais que sou desembargador.'
Caetano Lagrasta Neto é uma tradição na maior corte do País. Sua palavra, atestam os pares, tem o peso de uma sentença. 'Amanhã meus netos vão comentar: 'Olha o que aconteceu no tribunal e o nosso avô estava lá'. Eu não queria isso. Depois de uma vida inteira sem uma única reclamação, uma vida limpa, é este o prêmio que recebo.'
São 211 os juízes e desembargadores que receberam pagamentos antecipados. Não significa que tenham praticado conduta ilícita ou desfalcado o erário, já que o dinheiro era devido por férias e licenças-prêmio não tiradas no tempo certo.
São 29 os que embolsaram acima de R$ 100 mil e estão sob investigação. Dois ex-presidentes - Roberto Vallim Bellocchi e Antonio Carlos Vianna Santos - somam R$ 2,65 milhões. O dinheiro foi pago durante suas próprias gestões. Outros três, que integravam a Comissão de Orçamento e Finanças, ganharam mais de R$ 600 mil cada. A corte sangra, dia após dia. Será assim até o Órgão Especial decidir o que fazer: punição ou gaveta.
Mensagem. Lagrasta, da 8.ª Câmara de Direito Privado, não está em lista nenhuma. Nem ele nem outros desembargadores que também vivem dias de aflição e o apoiam na cruzada para a corte tornar público o rol de magistrados que podem ter violado o princípio da impessoalidade.
Não é de hoje que Lagrasta defende a divulgação dos nomes protegidos pelo manto do sigilo e do corporativismo. Em 21 de dezembro, ele enviou e-mail ao atual presidente, Ivan Sartori, de quem é amigo. 'Prezado Ivan. Este segredo de polichinelo prejudica a todos, colocando-nos sob suspeita, ao mesmo tempo em que preserva os que se aproveitaram da amizade ou do conluio para desobedecer a preceitos legais.'
Ele retomou a pauta em fevereiro, quando o TJ informou que não eram 29 os beneficiários, mas 300. Enviou novo e-mail, agora para o Conselho Superior da Magistratura. 'Quer parecer o lançamento de uma cortina de fumaça, capaz de confundir a verdade e o tamanho da afronta cometida', escreveu. 'Qual a origem desses 300? Uma coisa é receber o que a administração disponibiliza ou disponibilizou em holerite, sem que ninguém tivesse requerido. Outra, bem diferente, é requerer a si próprio, como membro da cúpula ou da Comissão de Vencimentos, e a si próprio deferir.'
Em 8 de março, Sartori comunicou a Lagrasta e a toda a classe que o Conselho Superior indeferiu pedido de divulgação dos nomes que receberam 'antecipações excepcionais de créditos devidos, por estar a matéria pendente de decisão do Órgão Especial, respeitado o princípio da presunção de inocência'. Lagrasta defende a cautela do presidente. 'Se o Ivan (Sartori) fosse impulsivo, teria mostrado a lista. Por que crucificar o presidente? Mas a divulgação da lista é importante', reforça.
Lagrasta fala de um poder acuado. 'Por que chegamos a este ponto? A partir do momento em que deixamos de julgar governador, hoje responsabilidade do Superior Tribunal de Justiça', opina. 'O Judiciário está de chapéu na mão. Não podemos ficar reféns do Executivo.'
A menos de dois anos da aposentadoria, o desembargador não quer homenagens, nem placa com seu nome gravado. Apenas que se restaure a honra maculada da toga.Copiado : http://estadao.br.msn.com/ultimas-noticias/a

DEM já discute expulsar Demóstenes

Por AE, estadao.com.br, Atualizado: 31/3/2012 9:53


    Preocupados com o impacto eleitoral do escândalo envolvendo o senador Demóstenes Torres (DEM-GO), parlamentares democratas já articulam a expulsão do ex-líder do partido. As denúncias que envolvem Demóstenes, sob ameaça de responder a processo de quebra de decoro parlamentar, acenderam a luz amarela no projeto político do partido para as eleições municipais. Reservadamente, caciques estão receosos de que as acusações que pesam contra o senador respinguem nas disputas a prefeito das principais capitais em outubro.
Em conversas, a cúpula do partido deu-lhe um ultimato: ou explica de forma convincente até terça-feira seu real envolvimento com o empresário do ramo de jogos de azar Carlos Augusto Ramos, o Carlinhos Cachoeira, ou responderá a um processo de expulsão. A cobrança foi feita pelo presidente do partido, senador José Agripino (RN), o líder da bancada na Câmara, Antonio Carlos Magalhães Neto (BA), e o deputado Ronaldo Caiado (GO).
ACM Neto admitiu ontem que a situação de Demóstenes se 'agravou' nos dois últimos dias, após a divulgação de novos grampos telefônicos feitos pela Polícia Federal que revelam uma relação próxima do parlamentar com Cachoeira.
O DEM lançou pré-candidaturas do líder da bancada na Câmara, o deputado ACM Neto, em Salvador (BA), e do deputado federal e ex-presidente da sigla, Rodrigo Maia, no Rio de Janeiro. O partido quer ainda ter direito a escolher, na disputa à Prefeitura paulistana, o vice da chapa comandada pelo tucano José Serra. As informações são do jornal O Estado de S. Paulo
Copiado : http://estadao.br.msn.com/ultimas-noticias

España anuncia un presupuesto de gran rigor y promete a Europa ser "fiable"

 
03/31 | 00:43 GMT
El ministro español de Hacienda, Cristóbal Montoro, en rueda de prensa en la Moncloa
MADRID (AFP) - Un día después de una huelga general que sacó a las calles a cientos de miles de manifestantes, el gobierno español presentó este viernes los presupuestos más austeros de la historia del país, con un ajuste de 27.300 millones de euros, y prometió a Europa ser "fiable en 2012".
Estamos en "una situación crítica a la que tenemos que responder con los presupuestos más austeros de nuestra democracia", afirmó el ministro de Hacienda, Cristóbal Montoro, al término del Consejo de Ministros.
La misión del gobierno español es clara: reducir en doce meses el déficit público de 8,51% a 5,3% del PIB.
"Hacer fiable ese objetivo, es una condición ineludible para el gobierno y lo que da sentido al conjunto de las medidas tanto de ingreso como de gasto público", agregó, en un mensaje claramente dirigido a sus socios europeos, que no dejan de expresar su preocupación.
"España está en una muy difícil situación", había afirmado horas antes el comisario europeo de Asuntos Económicos, Olli Rehn, en una reunión de ministros de Finanzas en Copenhague que debía examinar con lupa los números presentados por Madrid.
El banco estadounidense Citi había sido más virulento el miércoles, afirmando que "España probablemente deba, en nuestra opinión, entrar en algún tipo de programa troika (una ayuda de la UE, el BCE y el FMI, ndlr) durante 2012".
Decidido a tranquilizar a Europa, el ministro español de Economía, Luis de Guindos, aseguró a la prensa en Copenhague que gracias a las medidas de su gobierno, en el poder desde diciembre, "España va a dejar de ser un problema".
"Este país va a cumplir", reiteró en Madrid la vicepresidenta del gobierno, Soraya Sáenz de Santamaría. "Cumplir el 5,3% de déficit es 'sí o sí', no hay otras opciones, España tiene palabra y se va a cumplir", insistió.
El ministro español de Economía, Luis de Guindos (c), en la reunión de titulares de Finanzas e la UE en Copenhague
"Nuestra primera obligación es volver a encontrar unas cuentas públicas saneadas pero no a cualquier precio", afirmó, precisando que el gobierno quiere "apoyar a aquellos que más lo necesitan y no paralizar el crecimiento y la creación de empleo", en un país golpeado por un desempleo récord de 22,85%.
Así, se tomó "la decisión de mantener la actualización de las pensiones, conservar el sueldo de los funcionarios, pero no rebajarlo, y mantener las prestaciones por desempleo", explicó.
Del mismo modo, "no va a subir el impuesto sobre el valor añadido, para no perjudicar el consumo y la recuperación económica, pero sí el impuesto de sociedades a las grandes empresas", precisó.
En total, España hará un ajuste de 27.300 millones de euros, entre recortes presupuestarios y aumentos de impuestos, explicó Montoro.
Los presupuestos de los ministerios serán reducidos un 16,9% de media lo que permitirá, junto a otras medidas, ahorrar 17.800 millones de euros.
La vicepresidenta del Gobierno español, Soraya Sáenz de Santamaría, en rueda de prensa en la Moncloa
Y al incremento del impuesto sobre la renta anunciado en diciembre se sumarán otras medidas tributarias, en especial la eliminación de deducciones en el impuesto de sociedades.
La mayoría de los analistas coincidían sin embargo en la necesidad de que España ajustase sus cuentas en unos 50.000 millones de euros, teniendo en cuenta la recesión que este año debería hacer caer el PIB un 1,7%.
El resto del esfuerzo tendrá así que provenir sobre todo de las regiones y los municipios, cuya salud es muy frágil desde el estallido de la burbuja inmobiliaria en 2008.
Pero esto suscita las dudas de muchos economistas, que temen que España vuelva a incumplir su objetivo de déficit este año tras registrar un 8,5% del PIB en 2011 cuando se había comprometido al 6%.
Madrid anuncia recortes históricos. (00:02:12)
"Es muy difícil, se ha demostrado en todos los países, recortar el déficit público en medio de una recesión porque la propia recesión te hace bajar los impuestos y aumentar el gasto de prestación por desempleo", explica José Carlos Díez, economista de la sociedad Intermoney.
"Por lo tanto, estás remando en contra del agua. Tienes una capacidad para remar, pero al final te agotas", concluye, asegurando que "España necesita tiempo, pero no parece que Bruselas vaya a dárselo".
Mientras tanto, al ritmo de los recortes sigue creciendo el descontento social. Unas 800.000 personas, según el ministerio del Interior, se manifestaron el jueves en toda España contra la austeridad.
Copy : www.afp.com/afpcom/es

Instituto apoia decisão de investigar morte de Herzog

Por FERNANDA YONEYA, estadao.com.br, Atualizado: 31/03/2012 09:32

    O Instituto Vladimir Herzog manifestou apoio à decisão da Comissão Interamericana de Direitos Humanos da Organização dos Estados Americanos (OEA) de investigar a morte do jornalista Vladimir Herzog, ocorrida no DOI-Codi de São Paulo em 1975. A notificação da decisão foi recebida pela delegação brasileira na OEA, em Washington, e a denúncia foi entregue na terça-feira.
'A decisão de investigar o assassinato de Vladimir Herzog merece o apoio de todos aqueles que propugnam a democracia, a liberdade de expressão e os direitos humanos', diz o texto publicado nesta sexta no blog do instituto. 'Essa decisão é mais uma demonstração da importância dos protestos contra esse assassinato e do valor desses protestos para a História recente do País e para seu futuro, pois foi a partir deles que começou a ruir a ditadura, para dar lugar ao regime democrático que hoje vivemos.'
O texto lembra que outros países que sofreram ditaduras já foram objetos de processos semelhantes da comissão - o próprio Brasil foi condenado pela Corte pelo desaparecimento de militantes na Guerrilha do Araguaia.
'O caso emblemático do assassinato de Vladimir Herzog, por agentes da ditadura, já foi reconhecido pela Justiça, pela União e no âmbito da Comissão Especial sobre Mortos e Desaparecidos Políticos da Secretaria Nacional de Direitos Humanos. No entanto, ainda não foi investigado para determinar quais foram esses agentes, quais seus nomes, quais seus cargos', diz o texto.
'É pela ausência desses esclarecimentos que a decisão da CIDH se reveste de importância ainda maior, na medida em que traz renovado impulso à necessidade de imediata nomeação dos integrantes da Comissão da Verdade e início de sua atuação.'
A Secretaria de Direitos Humanos, responsável por coordenar a resposta brasileira no caso,recebeu a notificação da OEA na quinta-feira e a enviou para apreciação da Advocacia-Geral da União. As informações são do jornal O Estado de S. Paulo. Copiado : http://estadao.br.msn.com/ultimas-noticias

ANBA - Niterói: Escritora Ceiça Esch

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Vídeo Mesmo depois de decapitada, cobra quase mata homem

Aviões-robôs dos EUA atacam militantes no Paquistão e Iêmen

30 de março de 2012 23h51
 
Aviões teleguiados dos Estados Unidos realizaram na sexta-feira letais ataques com mísseis contra supostos alvos da Al Qaeda no Paquistão e Iêmen, segundo fontes governamentais americanas. Não havia ligação entre os alvos nos dois países, a não ser pelo fato de ambos os grupos atacados terem uma suposta ligação com a Al Qaeda, segundo essas fontes.
Relatos de Aden (Iêmen) dão conta de que pelo menos cinco suspeitos viajando em um veículo na província de Shabwa (sul) foram mortos no incêndio causado pelo impacto do míssil. Testemunhas disseram que um segundo disparo atingiu um prédio vazio.
Em Miranshah, principal cidade da região paquistanesa do Waziristão do Norte, quatro supostos militantes morreram e três ficaram feridos no ataque, segundo militantes e autoridades locais. Uma fonte de inteligência paquistanesa disse que os mortos eram militantes do Taliban.
Os ataques aparentemente são parte de uma prolongada campanha da CIA (Agência Central de Inteligência) para matar militantes da Al Qaeda em ataques teleguiados. A CIA não comenta essas operações.
Autoridades dos EUA disseram que os novos bombardeios contradizem recentes reportagens apontando uma redução no uso desse tipo de missão. Uma dessas reportagens - desmentida por autoridades americanas - relatava meses atrás que Washington ofereceu a suspensão dos ataques teleguiados como forma de melhorar suas relações com o Paquistão.
"Os Estados Unidos estão conduzindo e vão continuar a conduzir as operações de contraterrorismo que forem necessárias para proteger os EUA e seus interesses", disse uma autoridade americana. Essa fonte acrescentou que Washington e Islamabad mantêm "um diálogo sobre a melhor forma de os dois países reforçarem sua cooperação contra a Al Qaeda e outros grupos terroristas que ameaçam os cidadãos e os interesses de ambos os países".
Mas os funcionários americanos admitem que a frequência de bombardeios teleguiados no Paquistão diminuiu no último ano. Durante um período de dois meses a partir de 2011, os ataques de fato cessaram, em parte para atenuar a insatisfação paquistanesa com um incidente no qual forças dos EUA mataram acidentalmente 24 militares paquistaneses numa remota região da fronteira afegão-paquistanesa.
Os ataques teleguiados no Waziristão do Norte, suposto refúgio de militantes da Al Qaeda e Taliban, recomeçaram em janeiro, mas ainda com frequência menor que no período anterior.
No final do governo de George W. Bush, as exigências para os ataques foram abrandadas, e essas regras foram mantidas após o início do governo de Barack Obama, em 2009. Mas uma fonte oficial disse que nos últimos meses a política foi novamente revista para exigir mais rigor na autorização para os bombardeios.
Reuters
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MG: presos suspeitos de vender vagas em cargos públicos no TJ
30 de março de 2012 23h48 
       
    
José Guilherme Camargo
Direto de Belo Horizonte

A Polícia Civil de Minas Gerais prendeu nesta quinta-feira três pessoas suspeitas de vender falsas vagas de emprego no Tribunal de Justiça do Estado. O trio negociava as vagas em troca de R$ 200 até R$ 2 mil e depois desaparecia.
Os suspeitos são Waldo Francisco Esteves Junior, 51 anos, Elisa Amaral de Oliveira, 39 anos, e Adriana Asckar Braga Cardoso, 43 anos. Eles foram presos em Belo Horizonte e serão indiciados por estelionato.
Segundo a delegada Cristiane Floriano de Oliveira, Elisa era a líder do grupo e já estaria praticando o golpe há bastante tempo. "Já tem dois anos que a Eliza aplica os golpes. Ela falava com conhecidos, aí um indicava os outros. Sempre tem gente precisando. Era no boca-a-boca", disse. De acordo com a polícia, o grupo de falsários atuava em diversos municípios de Minas Gerais e já teria causado um prejuízo de R$ 120 mil.
A delegada chegou aos suspeitos depois de uma denúncia anônima de uma vítima que caiu no golpe na cidade de Betim, região metropolitana de Belo Horizonte. "Ela exigia uma série de documentos, até certidão de nascimento das vítimas. Depois sumia, dando indícios de que estava aplicando o golpe, falava que o desembargador de Justiça estava doente", contou.
Segundo Cristiane, era oferecido à vítima uma vaga como oficial de apoio judiciário, que trabalharia junto a um determinado desembargador. O salário chegaria a R$ 2400.
Eliza confessou o crime. Os outros dois comparsas disseram à polícia que não sabiam do esquema. Segundo a delegada, as vítimas não tinham noção de que o esquema seria ilegal. "Ninguém consegue cargo público por dinheiro", explicou.
O trio foi autuado em flagrante por estelionato e encaminhado para o Presídio de Betim e Ceresp Centro Sul, na Região Central de Belo Horizonte.
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